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    Press

  *Anna, La dame blanche, Opéra de Nice, Janvier 2022 et 2021:


" Amélie Robins, à la patine vocale mêlant délicieusement le cristallin de l’aigu à un médium corsé, évolue comme un poisson dans l’eau dans ce type d’emploi qui semble avoir été écrit pour elle "
https://www.premiereloge-opera.com/article/compte-rendu/production/2022/01/24/nouvelle-apparition-de-la-dame-blanche-a-lopera-de-nice-boieldieu-patrick-kabongo-amelie-robins-laurent-kubla-marie-kalinine-luca-lombardo-mickael-guedj-valerie-negre-alexandra-cravero/


« Amélie Robins a un charme fou, vocal et personnel. Elle déroule des vocalises aussi souples que le voile blanc qui lui cache le visage
https://www.forumopera.com/la-dame-blanche-nice-tapis-rouge-et-dame-blanche

« Sur le plateau, se voit réunie une équipe d’artistes, acteurs-chanteurs ou encore acteurs-danseurs, qui ont tous en commun un esprit aérien de funambule. Anna alias la Dame blanche incarnée par la soprano Amélie Robins apporte au plateau sa jouvence. Elle apparaît avec ses pétillements et minauderies de jeune première, ou de lutine, en faisant jaillir de sa gorge une voix fine, mellifluente, aussi mousseuse, aérée et perchée dans son aigu colorature, que rondement placée, sonore et menée jusqu’au dernier souffle dans son medium de soprano lyrique. Elle contrôle sa palette de dynamiques et soigne l’articulation exigeante de la langue française. Elle se fait tour à tour servante ou maîtresse, insaisissable ou hiératique, faible ou dominatrice, à l’aide de quelques accessoires érotiques sans équivoque, tels que bandeau, cravache et bottines noires, contrastant avec la gaze blanche de sa robe-linceul.«
https://www.olyrix.com/articles/production/5438/la-dame-blanche-boieldieu-opera-nice-deuxieme-scene-la-diacosmie-25-janvier-2022-article-critique-compte-rendu-version-semi-scenique-cravero-valerie-negre-bureau-touvet-kabongo-robins-degor-kubla-kalinine-lombardo-guedj-michael-marciasini-orchestre-choeur


« Et, bien sûr, comme nous sommes à l’opéra, rien ne saurait tenir sans des interprètes qui mettent leur voix et leur jeu autant au service de l’intrigue que du collectif musical. Soprano colorature, Amélie Robins est toute à son aise dans son double-rôle Anna/Dame Blanche, enchaînant les airs en parcourant la scène comme une souris espiègle mais inquiète«
https://www.humanite.fr/culture-et-savoirs/nice/opera-nice-amelie-robins-et-patrick-kabongo-enchantent-dans-la-dame-blanche
 

 


 *L'Enlevement au sérail, Opéra de Marseille, Blöndchen, Mars 2022:


« De son côté, Loïc Félix est un Pedrillo épatant de vie, de verve, de justesse vocale et d’aisance scénique, tandis qu’Amélie Robins campe une pétulante soubrette, à la voix habilement conduite, et un registre aigu aussi infaillible que délicieusement suave. »
https://www.opera-online.com/fr/columns/manu34000/reprise-de-lenlevement-au-serail-selon-dieter-kaegi-a-lopera-de-marseille
 


« Sa Blonde, l’étincelante Amélie Robins, lui donne la réplique tout autant qu’à Osmin. Son instrument aiguisé et sa mise ajustée sont infusés des vocalises qui éclaboussent jusqu’au suraigu les convenances et les contraintes vocales et sociales.«
https://www.olyrix.com/articles/production/5646/lenlevement-au-serail-mozart-opera-marseille-paolo-arrivabeni-dieter-kaegi-oconnor-venturi-uyar-robins-dran-felix-bolleire-bettermann-orchestre-choeur-19-avril-2022-article-critique-compte-rendu
 


« Amélie Robins, elle, prenait le rôle de Blonde. En cette deuxième représentation, elle nous a séduit par la justesse d’un jeu mettant en valeur son caractère féministe et une voix franche et directe bien travaillée sur l’intégralité de sa tessiture.«
https://www.concertclassic.com/article/lenlevement-au-serail-selon-dieter-kaegi-marseille-la-clemence-du-caire
 


« Il fait couple avec la belle  Blonde brune d’Amélie Robins, toujours de mieux en mieux, de l’Odéon à Orange, piquante, virevoltante, dont le riche soprano est brillant, agile, facile, aigu piquant, pimpant, pittoresque et coquine, joliment troussée en soubrette accorte qui ne s’en laisse pas compter, esclave maîtresse, faisant trembler le redoutable gardien du sérail, lui donnant une cinglante leçon de galanterie, le mettant en boîte, plutôt le coiffant de la boîte de la marmite dans la scène bouffe de la cuisine à bonne bouffe,  non des anges mais des jolies diablesses issues du chœur, aux corps  dignes d’alimenter aussi bien des rêves dans ce voyage au long cours.«
https://benitopelegrin-chroniques.blogspot.com/2022/04/a-ce-train-la.html?fbclid=IwAR3od3aX8lMrcPrhr9Alag1sJ5ezz0HHsNUTGGAFv8y4wqvXCi467UV4ctQ&m=1
 


« Amélie Robins se glisse avec bonheur dans une Blondchen au tempérament affirmé. Son aisance scénique s’accompagne d’une parfaite adéquation vocale avec le rôle qu’elle assume avec dynamisme, humour et un indéniable brio.«
http://www.resonances-lyriques.org/fr/chronique-detail/chroniques-operas/1117-lenlevement-au-serail-a-lopera-de-marseille.cfm

 

 



  *Été 2021, tournée de l’Elisir d’amore « Beau comme un camion » avec les Chorégies d’Orange:
 

 

« A ces points positifs s'ajoute, en outre, une distribution jeune, énergique et motivée qui a été choisie sur audition par Jean-Louis Grinda et Adriano Sinivia. Amélie Robins, habituée du théâtre antique d’Orange par ses nombreuses participations à « Musiques en Fête », est ici - comme il fallait évidemment s'y attendre - une séduisante autant que piquante Adina, par le charme, le jeu, l’abattage. C’est de surcroît une fort belle rencontre entre un rôle et une interprète à un stade de sa carrière où la couleur de la voix s'inscrit avec bonheur non seulement dans les notes aiguës - ce qui n'est évidemment pas une surprise - mais encore désormais dans l'assise d'un médium bien étoffé.«
http://www.resonances-lyriques.org/fr/chronique-detail/chroniques-operas/1038-lelixir-damour-beau-comme-un-camion-choregies-dorange-en-itinerance.cfm

 


 *Concert des Frivolités Parisiennes, Folies 1890, septembre 2021


« La soprano Amélie Robins, idéale pour ce répertoire (voix cristalline, frimousse polissonne et technique impeccable) brûle les planches«
https://www.forumopera.com/folies-1890-soissons-des-folies-passionnantes-mais-trop-sages

 

 *Gilda, Rigoletto, Opera de Massy, Mai 2019:

"Comme souvent à l'Opera de Massy, La distribution est de haut vol"

Amelie Robins incarne Gilda avec une touchante délicatesse. Les vocalises de "Caro Nome" montrent un registre facile (mais pas futile) et les passages plus lyriques, notamment le duo final de l'acte II, la voient affronter sans peine les fureurs paternelles.

Opera Magazine

 *Anne Trulove, The Rake's Progress, Opera de Nice, Mars 2019:

« La distribution investit ce dispositif exigeant théâtralement et vocalement avec une même implication. L’Anne Trulove de la soprano Amélie Robins est l’exquise fiancée de Tom, simple dans la précision, émouvante dans la compassion. Son jeu maintient crédibles les contrastes de son personnage, vierge exploratrice. Son ambitus vocal a la réserve lyrique et l’étendue requise par ce rôle qui pérégrine abruptement entre graves et aigus. Ses graves s’épanouissent avec le personnage. L’aigu présente d’amples plis lumineux, au vibrato serré. »

Olyrix.com

« Le plateau offre d’abord l’attrait de trois prises de rôle pour des chanteurs français de grande qualité - et à la diction anglaise plus que convenable. Touchante Lisa (du Pays du sourire de Lehar) l’an passé à Avignon, Amélie Robins offre une Ann Trulove vocalement de premier plan, aussi lyrique et émouvante, dans son « Invocation à la nuit» qu’impeccablement brillante (jusqu’au contre-Ut final) dans les vocalises de la cabalette qui suit ».

Opera-online.com

 

« La distribution vocale, française quant aux rôles principaux, relève le défi. Ceci est d’abord vrai pour le couple Tom Rakewell et Ann Trulove, défendu par Julien Behr et Amélie Robins. Les première notes de leurs interventions évoquent un répertoire plus léger, fréquenté régulièrement par ces artistes, voire la comédie musicale, surtout que les mesures du début, illustrant la demeure campagnarde de Father Trulove, s’y prêtent. Mais cette sensation initiale est laissée rapidement de côté. Amélie Robins, s’épanouit dans un aigu qui paraît facile et sans tension, les graves sont suffisamment exprimés, l’élocution est claire et l’anglais de belle qualité. Elle passe sans embûches son morceau de bravoure en fin d’Acte I – l’arioso Quietly night suivi de la cabalette I go, I go to him aux grands écarts et rapides vocalises – Par la suite, l’émotion passe davantage, lorsqu’elle découvre le mariage de Tom et Baba ou encore dans la délicate berceuse chantée à Tom/Adonis au III, pleine de poésie et de tristesse. »

Anaclase.com

 

« Sur scène, Amélie Robins arrive à montrer par sa voix et son jeu tous les contrastes de son personnage d’Anne Trulove : elle est l’élément qui relie les deux mondes, qui allie les contraires »

Overblog

 

 

« Julien Behr a le physique et la voix d’un Tom extrêmement convaincant. Il s’empare de ce rôle écrasant avec une agilité vocale, une variété de couleurs, une maîtrise de l’anglais qui l’autorisent déjà à affronter les chefs-d’œuvre de Britten. Même évidence avec Amélie Robins, exquise Anne Trulove ».

Resmusica 

         

                

 *Princesse Lisa, Le Pays du Sourire, Opera d'Avignon, 2018:

"Tout Avignon a eu pour Amélie Robins les yeux de Rodrigue pour Chimène, ou l'inverse, peu importe... Quelle voix, quel tempérament chez cette jeune soprano (une Gilda, une Zerbinette en puissance !) dont on ne se lasse pas de découvrir de saison en saison le talent et l'aplomb. Son jeu scénique est d'une émouvante simplicité, de l'émancipation à la détermination, le timbre, magnifiquement flexible, a quelque chose de fragile et sûr à la fois, ce qui donne à la moindre de ses notes une pulpe sensuelle au parfum capiteux. L'ensemble se fondant idéalement dans ce grand cadre exotique et laqué. "

https://m.arts-spectacles.com/Le-Pays-du-Sourire-de-Franz-Lehar-a-l-Opera-d-Avignon-Par-Christian-Colombeau_a13361.html

 *Emission "La Folie Offenbach" aux Folies Bergères rediffusée sur Fr3 le 1er janvier 2018:      

 

  "Dans Pomme d’Api, le charmant Armando Noguera au timbre brillant s’acoquine avec la sensuelle Amélie Robins aux aigus légers dans les vocalises mais puissants et ronds lorsqu’ils sont tenus à pleine poitrine pour conclure les cadences... Amélie Robins s’attaque ensuite à La Fille du Tambour-Major, avec une certaine profondeur dans la voix et un jeu convaincant, droite comme un i, avec une gestique de danseuse. Son magnifique aigu final lui vaut un tonnerre d’applaudissements, sans intervention du chauffeur de salle."

https://www.olyrix.com/articles/production/1621/offenbach-folie-bergere-emission-france-3-television-enregistrement-article-chronique-avis-critique-compte-rendu-didier-benetti-nadine-duffaut-florian-laconi-melanie-boisvert-valentine-lemercier-antoinette-dennefeld-eleonore-pancrazi-eric-huchet-marc-barr

                                        

  *Despina, Cosi fan tutte, Opera de Reims, Octobre 2017: 

"La troisième femme de l'intrigue reprend elle aussi l'ascendant, le pouvoir sur son partenaire masculin. Despina, la soubrette érotico-comique d'Amélie Robins est une séductrice dominatrice, se languissant sur son sofa, écrasant de ses talents aiguilles la masculinité d'un Don Alfonso consentant, tout en faisant de son plumeau une cravache (qui servira de symbole phallique, comme les épées, entre deux airs chantés dans des positions suggestives). Vocalement portée par un large souffle, elle croît naturellement vers de beaux aigus et atteint même assez légèrement les notes graves du médecin barbu à talonnettes en lequel elle se grime."

https://www.olyrix.com/articles/production/1422/cosi-fan-tutte-mozart-da-ponte-opera-reims-15-octobre-2017-article-critique-chronique-compte-rendu-rouits-roels-djihanian-polchi-godoy-gardon-alvaro-robins-orchestre-choeur-elca-ensemble-lyrique-champagne-ardenne-lebec-gendrot-lavenere-lesire-duffaut-roue

*Cosi Fan Tutte, Opera de Massy, Mars 2017, Olyrix.com:

"L'amusante et coquine servante Despina est interprétée par la soprano Amelie Robins. A l'aise avec son personnage, elle n'hésite pas à être audacieuse autant dans son rôle de servante que dans ses rôles déguisés."

 

*Concert Offenbach, Théâtre des Champs Elysées, en direct sur Radio Classique, 2016:

http://www.forumopera.com/offenbach-en-fete-paris-tce-deux-mots-qui-vont-tres-bien-ensemble

 

"Il incombe à Amélie Robins, présentée par les deux animateurs, comme la révélation de la soirée, d’en restituer le virtuose éclat. Un chant étincelant, un suraigu dépourvu d’acidité et une personnalité pétillante qui trouve aujourd’hui en Eurydice (Orphée aux Enfers) ou en Gabrielle (La Vie parisienne) le terrain d’expression le mieux adapté à son soprano".  

 

http://toutelaculture.com/musique/classique-musique/offenbach-en-fete-au-tce-on-veut-sen-est-fourrer-fourrer-jusque-la/

 

"Nous avons également droit au Duo du bottier et de la gantière avec Florian Laconi et Amélie Robins. Cette dernière faisait ici ses premiers pas sur une scène parisienne et nous est présentée comme une révélation de Radio Classique. Nous saluons les aigus superbes de son soprano et son caractère pétillant qui convient admirablement à ses diverses interprétations, comme celle d’Eurydice, ou encore dans la Valse d’Edwige extrait de Robinson Crusoé, une oeuvre moins connue d’Offenbach. Dans cet air, la jeune soprano laisse entendre une très belle agilité, toujours dans les aigus où elle excelle. (...)

La soirée finit comme elle avait commencé, avec Orphée aux Enfers, son Ouverture puis le drôle Duo de la mouche interprété par Amélie Robins et Florian Sempey. Ce duo est ici magnifié par ses interprètes très drôles, emportés dans la fête. Cela vaut par ailleurs un « C’est complètement fou! » de la part d’Elie Semoun présent dans la salle. Non, vraiment, « c’est charmant »!"

 

 

 *Falstaff, Grand Théâtre de Clermont-Ferrand 2016:

" Amélie Robins fraîche et pimpante mais non dénuée de duplicité dans ses déhanchements suggestifs n’est pas exactement l’innocente oie blanche de la farce où on l’enferme trop souvent (Nanette). (...) Fenton partage avec sa Nanette un vrai tempérament de comédien et une flexibilité dans l’aigü doté de belles qualités de phrasé.(...)"

http://www.forumopera.com/falstaff-clermont-ferrand-rabelais-et-brueghel-chez-verdi

 * Les Noces de Figaro de Mozart, Opéra de Cluj et Budapest, 2015:

"Amélie Robins était une Susanna idéale. Belle couleur, voix flexible de soprano, elle a chanté avec expression toute la soirée."

http://www.operaportal.hu/index.php?option=com_content&view=article&id=40863%3Acsukott-ajtokat-latok&catid=34%3Aoperaverseny-es-fesztival-a-mezzo-televizoval&layout=operaelet&Itemid=33

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